Titre : Pourquoi Sherlock s'appelle Sherlock : L'origine insolite des noms de héros de fiction

Auteur : Philippe Lombard

Edition : Omnibus

Genre : Essai

Pages : 168

Ma note : 

Résumé :

Le capitaine Némo, Rouletabille, Jean Valjean, Mickey, Rambo, Black et Mortimer, Spock, Eleanor Rigby… Les grands héros de fiction font partie de la mémoire collective. Mais, au fait, d'où vient leurs noms ? Sait-on qu'Indiana Jones doit son prénom au chien de George Lucas, qui s'appelait ainsi ? Que Ian Fleming voyait en « James Bond » un nom d'une grande banalité qu'il a emprunté à un ornithologue ? Que Tintin, né en 1929, serait issu d'un personnage de Benjamin Rabier, un gamin déluré prénommé Martin que sa mère appelle Tintin ? En 200 noms, ce dictionnaire recense les plus célèbres personnages du cinéma, de la littérature, de la bande dessinée, des séries télévisées, de la chanson et invite à un voyage plein de surprises dans notre univers culturel.

Mon avis :

Quelle déception !! Sur le principe, j'étais totalement emballée. Savoir d'où viennent les noms des héros de fiction les plus emblématiques, voilà qui promettait d'être intéressant ! Malheureusement, je n'ai pas du tout apprécié cette lecture...

Tout d'abord, je ne m'attendais pas à ce que le livre soit présenté sous forme de dictionnaire. 157 noms, plus précisément. Cette profusion de noms a eu une incidence fâcheuse selon moi : chaque entrée est terriblement courte !! J'aurais préféré en avoir moins mais bénéficier d'explications plus fournies, plus contextualisées et plus détaillées. Là, on nous balance l'info de façon brute, avec une citation et basta, au suivant...

Ensuite, j'avoue ne pas avoir appris grand chose sur tous ces noms... Je pense qu'en ayant un minimum de culture générale, on se retrouve avec une sensation de "déjà lu".

Enfin, dernier point et non des moindres, il y a des erreurs !! J'en ai relevé quelques-unes mais j'étais tellement agacée que j'ai abandonné le compte...

En bref, j'attendais beaucoup de ce titre mais j'en suis ressortie très déçue, au point même de survoler les dernières dizaines de pages.